Aujourd’hui l’éthique devient obligatoire et importante à toutes les personnes dans tous les domaines de la vie. Il y a une confirmation qui dit qu’elle devrait s’appliquer correctement, en plus, il faudrait qu’elle soit juste dans la sincérité à laquelle l’élément de la morale s’attache. Alors, qu’est-ce que c’est l’éthique ? et la morale ?
Selon Wunenburger en1993 ; il a défini l’éthique et la morale compréhensive par l’approche traditionnelle dans deux classes :
1. Premièrement, l’éthique s’explique soit la réflexion sur les fondements de la morale. Dans le cas d’éthique, elle s’explique par la science du comportement régissant les choix pratiques et la morale s’explique par ensemble des moyens mis en œuvre pour agir de façon humaine.
2. Deuxièmement, l’éthique s’explique par soi la morale universelle soit par la morale particulière. L’éthique en général s’explique par l’ensemble des règles de conduite partagées et typiques d’une société donnée suivie par la morale qui s’explique par l’ensemble des principes qui ont la dimension universelle.
Ensuite, Samuel Mercier, depuis la fin des années 1980, a commencé la discussion sur le thème de l’éthique organisationnelle qui se focalise soit vers la responsabilité sociale soit vers l’entreprise et du développement durable. Son résumé dit qu’il y a une preuve qu’il y a des consommateurs, des investisseurs, des salariés et plus globalement des citoyens qui exigent une demande sociale de plus en plus croissante à leur faveur d’une plus grande intégration éthique dans la vie entreprise.
En 1994 Jacqueline Russ aussi dans sa recherche, écrit que l’éthique pose quelques repères comme : l’évolution ce sujet dans les domaines ; l’éthique entreprise, dans les domaines de bioéthique, éthique de l’environnement, éthique et médias, éthique et politique, inclus éthique et entreprise.
Bien que dans le domaine pratique nous pussions gagner autre perspective par l’existence de Club des Juristes qui s’appelle “IDEETHIC qui se focalise dans le domaine d’éthique, d’action politique, économique et sociale. Les débats entre de nombreux experts concluent le besoin de reconnaissance de valeurs éthiques dans quatre domaines distincts qui sont la compliance, l’intelligence artificielle, environnement et la fiscalité.
Dans la conférence internationale organisée après cette débat, Monsieur le premier ministre a conclu que nous étions les acteurs d’un film que nous écrivions. Cette opinion a été confirmé par les autres experts comme :
– Premièrement, le directeur de recherche émérite au CNRS dit qu’on oublie toujours que l’homme est capable d’exploser grâce à sa raison mais reste un être extrêmement fragile et irrationnel.
– Deuxièmement, Laurent Fabius qui est le président du Conseil constitutionnel qui a considéré plus dans le contexte des contentieux du futur.
– Troisièmement, l’évolution de l’humanité par Edgar Morin, le célèbre philosophe a fait un exposé complet sur l’éthique et les différents principes qui l’agitent.
* D’après lui, les exigences éthiques contemporaines sont la solidarité, la responsabilité et la résistance à la barbarie. Il a illustré ses riches propos par des exemples concrets de tiraillements éthiques actuels comme l’encadrement de l’intelligence artificielle comme la revue du développement de mathématicien Cédric Villani ou en l’affaire Vincent Lambert sur l’euthanasie ou les polémiques sur l’avortement, la PMA et la GPA « où les éthiques laïques et religieuses se confrontent ». Il alerte l’audience sur le « problème de régression éthique et spirituelle du monde », et de résistance à cette régression généralisée de montée du fanatisme religieux, crise économique, xénophobie, soulèvements des foules sans structure. Ensuite après une discussion longue ce philosophe a demandé de se réaliser un travail politique correct auquel s’agissant le gouvernement d’homme de produire une rédaction de la loi juste.
Il est un fait qu’aujourd’hui nous vivons dans une véritable révolution de transparence depuis le G20 de Los Cabos. C’est pour cela nous voyons un phénomène sans frontière, qui apporte une communauté de destins qui renforcent ce sentiment d’appartenance. Il faut que la responsabilité et la solidarité avec l’ensemble de la communauté humaine, ce qui permettra de développer une éthique plus universelle. En effet de plus en plus il y a la concurrence précise sur le marché global. Leurs dirigeants sont conscients que leurs manquements peuvent finir de porter atteinte à leur réputation surtout dans les domaines de leur compétitivité et l’économie de leur État. Les signes sont firmes, comme les témoignages ci-dessous :
1. Le commissaire européen Pierre Moscovici dit que l’éthique n’est pas de la cosmétique.
2. Charles Duchaine qui est le directeur d’agence française anticorruption (AFA), soulignant que les acteurs, privés comme publics, doivent prouver la réalité et l’efficacité des dispositifs de conformité dans se mettent d’œuvre.
3. Laura Codruta Kövesi qui est le procureur en chef du nouveau parquet européen dans sa première intervention publique a mentionné d’être important de faire évoluer les mentalités.
4. Bernard Cazeneuve dans son ambition estime que la réussite de faire en matière de protection, des données qui mettent la priorité sur la compétence de concurrence parfaite de matière de droit. On arriverait alors en matière de compliance.
Comprenant les faits ci-dessus ayant pour pouvoir participer activement dans la partie internationale, il n’y a pas de raison de ne pas respecter l’éthique à suivre tout le protocole soit basé sur l’éthique soit basé sur la morale. Il faudrait alors que le programme de l’éducation de caractère ait du succès.
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Jakarta, Indonésie ; le 20 septembre 2021