La pandémie de COVID-19 a propagé entièrement dans le monde depuis le mois de mai 2020. Regrettant ! car depuis 15 mois il y a certaines capacités suivantes qui ont été bouleversées partout dans la vie quotidienne surtout dans la vie éducative. Cette dernière se formule d’un droit humain fondamental. Malheureusement, nous retrouvons aujourd’hui qu’il y a environ de 1.6 milliard d’élèves et d’étudiants qui équivaut aux 94% de la population scolarisée mondiale dispersant dans à peu près 190 pays sur tous les continents en revêtement des fermetures. En total de 99% de pays sous-développés et pauvres qui sont touchés.
Il y aurait quelque 23,8 millions d’enfants préscolaires et de jeunes universitaires qui pourraient par ailleurs abandonner leur scolarité ou perdre d’accès à l’éducation l’année prochaine. La plupart de victimes majeures sont les enfants, les jeunes et certains adultes et parmi eux, ceux qui habitent dans des zones pauvres ou rurales soit en zone montagneuse, soit en zone côtière. D’autres groupes soit les réfugiés, soit les personnes handicapées et les personnes déplacées ou des gens qui risquent de ne pas reprendre leur scolarité. Si bien que la génération actuelle pourrait perdre l’accès à l’éducation et leur persévérance scolaire.
Dans le domaine économique, ce fléau aurait causé des licenciements qui pourraient entraîner l’impact sérieux dans l’accès aux aliments nutritifs ainsi qu’en plus grand risque de violence aux femmes et les filles dans le domaine de la vie familiale. L’analyste économique confirme que l’on trouve un grand déficit qui a atteint le chiffre de 148 milliards de dollars par an et il pourrait désormais augmenter d’un tiers.
Heureusement la collaboration entre la Coalition mondiale pour l’éducation a mis en place par l’UNESCO a délivré certaines initiatives innovantes qui ont permis de poursuivre des activités d’enseignement en formation à la radio, à la télévision ou à d’autres outils pédagogiques. En plus, cela se réalise grâce à l’intervention rapide des États et des partenaires mondialement dans lesquelles déterminant l’assurance à la continuité pédagogique.
En regardent les problèmes au-dessus surtout dans le domaine plus sérieux comme la génération perdue. Les Nations Unies ont délivré une résolution concrète qui se traduit pour arrêter la propagation de virus et de préparer d’ouvrir des écoles. Cela exprime la relation fondamentale entre l’éducation soit un droit humain poursuivant les projets de 17 objectifs de développements durables. La mission principale est d’assurer la sécurité pour tous, préparer une réouverture inclusive, recueillir l’avis de toutes les personnes concernées, assurer la coordination des principaux acteurs, dont surtout les professionnels de la santé.
Ce dernier événement est une nouvelle heureuse aux étudiants, aux parents et aux enseignants. Nous avons entendu que de nombreux pays, entre autres : la France, les États Unis et Singapour qui ont commencé la vaccination non seulement aux professeurs mais surtout aux personnes les plus importantes : c’est-à-dire aux élèves d’élémentaires et aux lycéens. Cette mesure est correcte et juste. Elle remplit la première ambition assurant la sécurité pour tous. En vérifiant ce qui se passerait en comparant avec ce qui se passait en Indonésie. Il est nécessaire que le gouvernement vérifie plus attentivement le plan d’ouverture des écoles au mois de juillet 2021 en tenant compte tous les risques. Si seulement les professeurs qui ont été vaccinés, tandis que les étudiants n’ont pas été vaccinés, la question critique se produit maintenant : Cette condition serait-elle suffisante ? Serait-il sage et raisonnable de laisser la procédure d’autoriser les enfants à retourner à l’école en pensant que l’on peut le comparer avec l’autorisation d’aller aux centres commerciaux ouverts ? Qui répondra à cette question ?
Source:https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/policy_briefeducation_during_covid-19_and_beyond_french.
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https://medium.com/@santi.fb9/le-covid-19-il-existe-et-bouleverse-vraiment-le-monde-3e0bdcd006f7
